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Chandrasekhar Une histoire de l'astrophysique / Kameshwar C. WALI
Titre : Chandrasekhar Une histoire de l'astrophysique Type de document : texte imprimé Auteurs : Kameshwar C. WALI, Auteur Editeur : DIDEROT Année de publication : 1998 Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Mots-clés : histoire Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Chandrasekhar Une histoire de l'astrophysique [texte imprimé] / Kameshwar C. WALI, Auteur . - DIDEROT, 1998.
Langues : Français (fre)
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Mots-clés : histoire Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 600-4-027 B CHA Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible
Titre : Le chaos et l'harmonie : la fabrication du réel / Type de document : texte imprimé Auteurs : Xuan Thuan. TRINH Editeur : [Paris] : Gallimard Collection : Folio/essais ; num. 366 Importance : 603 p. Présentation : ill. (certaines en coul.) Format : 18 cm. - ISBN/ISSN/EAN : 2-07-041370-5 Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Résumé : Table des matières
Avant-propos ........................................... 15
I ?Vérité et beauté ............................... 21
II ? Contingence et nécessité : histoire du système
solaire ............................................... 31
III ? Du chaos dans la machinerie cosmique,
de l'incertitude dans le déterminisme .................... 97
IV ?L'austère beauté de la symétrie ..................... 173
V ? L'insoutenable étrangeté des atomes ............... 269
VI ?L'univers créatif ................................... 339
VII ? La déraisonnable efficacité de la pensée ...........387
Glossaire .................................................447
Bibliographie .............................................463
Crédits photographiques ...................................464
Remerciements .............................................465
Index ...................................................467Note de contenu : Le chaos et l'harmonie
Cette fin de siècle a vu un véritable bouleversement dans notre façon de contevoir le monde. Après avoir dominé la pensée occidentale pendant trois cents ans, la vision newtonienne d'un univers fragmenté, mécaniste et déterministe a fait place à celle d'un monde exubérant de créativité. Le Réel n'est plus déterminé seulement par des lois naturelles appliquées à des conditions initiales particulières, mais aussi moulé et façonné par une suite d'événements contingents et historiques qui peuvent bouleverser la réalité à son niveau le plus profond. Celui du bolide rocailleux venu percuter la Terre il y a quelque 65 millions d'années et responsable de la mort des dinosaures en est un exemple. Les lois physiques ont perdu leur rigidité. Avec l'avènement de la mécanique quantique, le hasard est entré en force dans le monde subatomique. Le monde macroscopique n'a pas été épargné. Avec la théorie du chaos, le hasard et le non-déterminisme ont envahi non seulement la vie de tous les jours, mais aussi le domaine des planètes, des étoiles et des galaxies. Débarrassée de son carcan la Nature peut enfin innover et créer.
J'ai voulu retracer ici, dans un langage simple et au travers d'exemples tirés de l'astrophysique, de la physique, de la biologie et des mathématiques, le développement des idées qui ont mené à cette nouvelle vision du monde. L'ouvrage s'adresse à l'« honnête homme », non pourvu de bagage technique, mais curieux des extraordinaires avancées de la science au cours du xxe siècle, ainsi que de leurs implications philosophiques et théologiques : pourquoi Beauté et Vérité vont-ils souvent de pair ? Comment la Nature se sert-elle de subtils principes de symétrie pour imposer une profonde unité et harmonie au monde physique ? Pourquoi l'homme est-il doué d'une « déraisonnable efficacité » à comprendre l'univers ? Se peut-il que ce soit pour lui donner un sens ?
Trinh Xuan Thuan est originaire de Hanoï, Vietnam. Après avoir
fréquenté le lycée français de Saigon, il fait ses études à Caltech et à
Princeton, aux Etats-Unis. Professeur d'astronomie à l'université de
Virginie, il est l'auteur de La Mélodie secrète, qui a rencontré la
faveur d'un large public.
*************** Lire la page 238 239 ***********************
238
LE CHAOS ET L'HARMONIE
ment déformée. Celle-ci devient de plus en plus aiguë, jusqu'à lui faire mal à l'oreille, et les mots affluent à une cadence si rapide qu'ils deviennent incompréhensibles, tout comme le son d'une bande magnétique qu'on fait avancer à toute vitesse.
Des forces de marée qui étirent le corps
Jules vieillit moins rapidement, mais son corps paie cette jeunesse prolongée. En effet, les effets gravitationnels exercés par le trou noir sur son corps ne sont pas du tout plaisants. Ils sont même extrêmement douloureux. Dans sa descente vers l'horizon du trou noir, Jules sent des forces de plus en plus vigoureuses tirant à la fois sur sa tête et sur ses pieds. Ses pieds, étant plus près que sa tête de 1,75 mètre (la taille de Jules) du centre du trou noir, sont tirés plus violemment vers la singularité. Cette différence entre les forces gravitationnelles qui s'exercent aux extrémités du corps de Jules engendre une force appelée « force de marée ». Celle-ci est ainsi dénommée parce que c'est aussi une force résultant de la différence entre deux forces gravitationnelles exercées par la Lune, l'une sur l'eau des océans, l'autre sur le centre de la Terre, qui est responsable des marées qui viennent renverser les châteaux de sable abandonnés par les enfants sur la plage. Vous-même qui vivez sur Terre, vous êtes sujet à des forces de marée exercées par la Terre, puisque vos pieds, plus près du centre de celle-ci, sont attirés plus fortement par notre globe que ne l'est votre tête. Mais vous ne sentez pas de tiraillements sur Terre, car la différence entre les forces de gravité qui s'exercent sur votre tête et sur vos pieds est de moins d'un millionième.
La situation est tout autre pour Jules lorsqu'il s'approche de la surface-horizon du trou noir. La différence des forces s'exerçant sur ses pieds et sur sa tête ne cesse d'augmenter. Les forces de marée du trou noir tentent de l'étirer comme un spaghetti, et ses os lui font de plus en plus mal. À une distance d'environ 13 000 km de l'horizon, il sent une force de marée correspondant à 1/4 de la gravité terrestre ; à 8 000 km, une force correspondant à 1 g ; à 3 000 km, une force de 15 g. Jules essaie tant bien que mal de se replier sur lui-même, de ramener ses genoux contre sa poitrine et sa tête entre ses jambes afin de raccourcir son corps autant que possible et de laisser ainsi le moins d'emprise aux forces de marée (idéalement, si la tête et les pieds de Jules étaient confondus en un seul point dans l'espace, et la longueur de son corps égale à zéro, les forces de marée s'annule-
L'AUSTÈRE BEAUTÉ DE LA SYMÉTRIE
239
raient). Mais peine perdue ! Ces forces de marée sont si énormes qu'elles forcent les pieds de notre pauvre Jules à se déplier pour qu'elles puissent continuer leur travail d'étirement du corps. Jules souffre tant qu'il n'en peut plus. Il décide de rebrousser chemin. Il n'a aucun espoir d'atteindre l'horizon du trou noir sans que son corps ne se brise. Jules met en marche les moteurs de sa capsule spatiale. Il lui fait décrire des orbites circulaires en spirale de plus en plus grandes pour rejoindre sa fusée.
Des lentilles gravitationnelles
Jules a rebroussé chemin, son corps ne pouvait plus supporter les forces de marée du trou noir. Nous sommes frustrés de ne point savoir ce qui se passe de l'autre côté de l'horizon du trou noir. Nous voudrions connaître la fin de l'aventure. Aussi, pour satisfaire notre curiosité, assumons le rôle d'un dieu tout-puissant qui donnerait à Jules le pouvoir surhumain de résister aux forces de marée démesurées jusqu'à lui permettre d'atteindre la singularité ultime.
Jules poursuit donc son voyage en spirales jusqu'à la surface-horizon. Il ne se lasse pas de contempler le magnifique spectacle du firmament étoile qui l'entoure. Seule une toute petite partie du ciel est masquée par le disque obscur du trou noir au-dessous de lui. Sur le fond noir d'encre scintillent d'innombrables points lumineux révélant les étoiles de la Voie lactée dans toute leur splendeur. Avec son télescope de bord, Jules peut aussi admirer des objets plus diffus, moins lumineux, qui sont des galaxies analogues à la Voie lactée, des collections de centaines de milliards d'étoiles liées par la gravité parmi les centaines de milliards d'autres collections qui peuplent l'univers observable. Au premier abord, le trou noir paraît avoir masqué toutes les étoiles et galaxies qui se trouvent derrière lui. Cela serait effectivement le cas si la lumière se propageait en ligne droite. Mais, justement, elle ne le fait pas. Le champ gravitationnel du trou noir agit plutôt comme une sorte de lentille qui dévie la trajectoire de la lumière. Celle-ci contourne l'horizon du trou noir pour reconverger de l'autre côté du disque et former un mince anneau autour de celui-ci. Le trou noir se comporte ainsi comme les lentilles de vos lunettes qui dévient la lumière afin de corriger votre myopie. Dans le cas présent, la lentille n'est pas faite de verre, mais de l'espace déformé et courbé par la gravité du trou noir. C'est pourquoi on l'appelle « lentille gravitationnelle » (fig. 40).En ligne : http://opac69.free.fr/le_chaos_et_harmonie_couv.html Le chaos et l'harmonie : la fabrication du réel / [texte imprimé] / Xuan Thuan. TRINH . - [Paris] : Gallimard, [s.d.] . - 603 p. : ill. (certaines en coul.) ; 18 cm. -. - (Folio/essais ;; 366) .
ISBN : 2-07-041370-5
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Résumé : Table des matières
Avant-propos ........................................... 15
I ?Vérité et beauté ............................... 21
II ? Contingence et nécessité : histoire du système
solaire ............................................... 31
III ? Du chaos dans la machinerie cosmique,
de l'incertitude dans le déterminisme .................... 97
IV ?L'austère beauté de la symétrie ..................... 173
V ? L'insoutenable étrangeté des atomes ............... 269
VI ?L'univers créatif ................................... 339
VII ? La déraisonnable efficacité de la pensée ...........387
Glossaire .................................................447
Bibliographie .............................................463
Crédits photographiques ...................................464
Remerciements .............................................465
Index ...................................................467Note de contenu : Le chaos et l'harmonie
Cette fin de siècle a vu un véritable bouleversement dans notre façon de contevoir le monde. Après avoir dominé la pensée occidentale pendant trois cents ans, la vision newtonienne d'un univers fragmenté, mécaniste et déterministe a fait place à celle d'un monde exubérant de créativité. Le Réel n'est plus déterminé seulement par des lois naturelles appliquées à des conditions initiales particulières, mais aussi moulé et façonné par une suite d'événements contingents et historiques qui peuvent bouleverser la réalité à son niveau le plus profond. Celui du bolide rocailleux venu percuter la Terre il y a quelque 65 millions d'années et responsable de la mort des dinosaures en est un exemple. Les lois physiques ont perdu leur rigidité. Avec l'avènement de la mécanique quantique, le hasard est entré en force dans le monde subatomique. Le monde macroscopique n'a pas été épargné. Avec la théorie du chaos, le hasard et le non-déterminisme ont envahi non seulement la vie de tous les jours, mais aussi le domaine des planètes, des étoiles et des galaxies. Débarrassée de son carcan la Nature peut enfin innover et créer.
J'ai voulu retracer ici, dans un langage simple et au travers d'exemples tirés de l'astrophysique, de la physique, de la biologie et des mathématiques, le développement des idées qui ont mené à cette nouvelle vision du monde. L'ouvrage s'adresse à l'« honnête homme », non pourvu de bagage technique, mais curieux des extraordinaires avancées de la science au cours du xxe siècle, ainsi que de leurs implications philosophiques et théologiques : pourquoi Beauté et Vérité vont-ils souvent de pair ? Comment la Nature se sert-elle de subtils principes de symétrie pour imposer une profonde unité et harmonie au monde physique ? Pourquoi l'homme est-il doué d'une « déraisonnable efficacité » à comprendre l'univers ? Se peut-il que ce soit pour lui donner un sens ?
Trinh Xuan Thuan est originaire de Hanoï, Vietnam. Après avoir
fréquenté le lycée français de Saigon, il fait ses études à Caltech et à
Princeton, aux Etats-Unis. Professeur d'astronomie à l'université de
Virginie, il est l'auteur de La Mélodie secrète, qui a rencontré la
faveur d'un large public.
*************** Lire la page 238 239 ***********************
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LE CHAOS ET L'HARMONIE
ment déformée. Celle-ci devient de plus en plus aiguë, jusqu'à lui faire mal à l'oreille, et les mots affluent à une cadence si rapide qu'ils deviennent incompréhensibles, tout comme le son d'une bande magnétique qu'on fait avancer à toute vitesse.
Des forces de marée qui étirent le corps
Jules vieillit moins rapidement, mais son corps paie cette jeunesse prolongée. En effet, les effets gravitationnels exercés par le trou noir sur son corps ne sont pas du tout plaisants. Ils sont même extrêmement douloureux. Dans sa descente vers l'horizon du trou noir, Jules sent des forces de plus en plus vigoureuses tirant à la fois sur sa tête et sur ses pieds. Ses pieds, étant plus près que sa tête de 1,75 mètre (la taille de Jules) du centre du trou noir, sont tirés plus violemment vers la singularité. Cette différence entre les forces gravitationnelles qui s'exercent aux extrémités du corps de Jules engendre une force appelée « force de marée ». Celle-ci est ainsi dénommée parce que c'est aussi une force résultant de la différence entre deux forces gravitationnelles exercées par la Lune, l'une sur l'eau des océans, l'autre sur le centre de la Terre, qui est responsable des marées qui viennent renverser les châteaux de sable abandonnés par les enfants sur la plage. Vous-même qui vivez sur Terre, vous êtes sujet à des forces de marée exercées par la Terre, puisque vos pieds, plus près du centre de celle-ci, sont attirés plus fortement par notre globe que ne l'est votre tête. Mais vous ne sentez pas de tiraillements sur Terre, car la différence entre les forces de gravité qui s'exercent sur votre tête et sur vos pieds est de moins d'un millionième.
La situation est tout autre pour Jules lorsqu'il s'approche de la surface-horizon du trou noir. La différence des forces s'exerçant sur ses pieds et sur sa tête ne cesse d'augmenter. Les forces de marée du trou noir tentent de l'étirer comme un spaghetti, et ses os lui font de plus en plus mal. À une distance d'environ 13 000 km de l'horizon, il sent une force de marée correspondant à 1/4 de la gravité terrestre ; à 8 000 km, une force correspondant à 1 g ; à 3 000 km, une force de 15 g. Jules essaie tant bien que mal de se replier sur lui-même, de ramener ses genoux contre sa poitrine et sa tête entre ses jambes afin de raccourcir son corps autant que possible et de laisser ainsi le moins d'emprise aux forces de marée (idéalement, si la tête et les pieds de Jules étaient confondus en un seul point dans l'espace, et la longueur de son corps égale à zéro, les forces de marée s'annule-
L'AUSTÈRE BEAUTÉ DE LA SYMÉTRIE
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raient). Mais peine perdue ! Ces forces de marée sont si énormes qu'elles forcent les pieds de notre pauvre Jules à se déplier pour qu'elles puissent continuer leur travail d'étirement du corps. Jules souffre tant qu'il n'en peut plus. Il décide de rebrousser chemin. Il n'a aucun espoir d'atteindre l'horizon du trou noir sans que son corps ne se brise. Jules met en marche les moteurs de sa capsule spatiale. Il lui fait décrire des orbites circulaires en spirale de plus en plus grandes pour rejoindre sa fusée.
Des lentilles gravitationnelles
Jules a rebroussé chemin, son corps ne pouvait plus supporter les forces de marée du trou noir. Nous sommes frustrés de ne point savoir ce qui se passe de l'autre côté de l'horizon du trou noir. Nous voudrions connaître la fin de l'aventure. Aussi, pour satisfaire notre curiosité, assumons le rôle d'un dieu tout-puissant qui donnerait à Jules le pouvoir surhumain de résister aux forces de marée démesurées jusqu'à lui permettre d'atteindre la singularité ultime.
Jules poursuit donc son voyage en spirales jusqu'à la surface-horizon. Il ne se lasse pas de contempler le magnifique spectacle du firmament étoile qui l'entoure. Seule une toute petite partie du ciel est masquée par le disque obscur du trou noir au-dessous de lui. Sur le fond noir d'encre scintillent d'innombrables points lumineux révélant les étoiles de la Voie lactée dans toute leur splendeur. Avec son télescope de bord, Jules peut aussi admirer des objets plus diffus, moins lumineux, qui sont des galaxies analogues à la Voie lactée, des collections de centaines de milliards d'étoiles liées par la gravité parmi les centaines de milliards d'autres collections qui peuplent l'univers observable. Au premier abord, le trou noir paraît avoir masqué toutes les étoiles et galaxies qui se trouvent derrière lui. Cela serait effectivement le cas si la lumière se propageait en ligne droite. Mais, justement, elle ne le fait pas. Le champ gravitationnel du trou noir agit plutôt comme une sorte de lentille qui dévie la trajectoire de la lumière. Celle-ci contourne l'horizon du trou noir pour reconverger de l'autre côté du disque et former un mince anneau autour de celui-ci. Le trou noir se comporte ainsi comme les lentilles de vos lunettes qui dévient la lumière afin de corriger votre myopie. Dans le cas présent, la lentille n'est pas faite de verre, mais de l'espace déformé et courbé par la gravité du trou noir. C'est pourquoi on l'appelle « lentille gravitationnelle » (fig. 40).En ligne : http://opac69.free.fr/le_chaos_et_harmonie_couv.html Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 600-4-002 501 THU Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible
Titre : Les charlatans du ciel Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain GILLOT-PETRE (1950-1999), Auteur Editeur : Paris : M. Lafon Année de publication : 1994 Importance : 239 p. Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84098-041-X Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-7 Astrologie Index. décimale : 600-7 Astrologie Résumé : Table
Mode d'emploi
Chapitre 1 : Dies irae
Chapitre 2 : Les geysers de triton
chapitre 3 : Par ici la bonne soupe
Chapitre 4 : Les Astrolâtres
Chapitre 5 : Objets volant naïvement imaginé
Chapitre 6 : Les météodrôles
Terminus
Note de contenu : LES CHARLATANS DU CIEL
Je vais vous dire, je ne sais pas grand-chose dans ma vie, ainsi que vous avez pu le remarquer, cependant ça je le sais. Le virus m'a sauté dessus à l'adolescence. J'ai trouvé cette discipline esthétique et intéressante, avec en prime les émotions vitales des tempêtes. Quoi que j'aie fait je ne l'ai jamais quitté personnellement. J'aurai davantage veillé et étudié un rapport météo que pratiqué une autre occupation nocturne. J'ai encore devant moi une masse incroyable de travail. Et je mourrai sans doute, sans savoir. Je m'en fous : ce que je cherche apporte tellement plus de satisfactions que d'humiliations. Les hommes que j'ai rencontrés, les yeux dans les yeux je vous l'affirme, m'ont tous apporté le pain et le sel de leurs connaissances, y compris les cons... il y en a ici aussi, heureusement moins qu'ailleurs. Les météorologues méritent le respect grâce à leur probité intellectuelle. Et puis, ne le cachons pas, ils ont un petit grain sous la troposphère qui me plaît beaucoup. À titre intime, je n'y ai perdu aucune amitié. Je me donne du mal et je reste honnête malgré les aléas, par nature et fidélité au principe de vérité. Aussi mon sang bout-il quand quelques charlatans, doublés d'imposteurs, se mettent à clabauder des inepties, remplis d'emphase et d'ignorance. Chez moi, on n'a pas le droit de voler autrui.
15 janvier - 10 juin 1994
Les charlatans du ciel [texte imprimé] / Alain GILLOT-PETRE (1950-1999), Auteur . - Paris : M. Lafon, 1994 . - 239 p. : ill. ; 24 cm.
ISBN : 2-84098-041-X
Langues : Français (fre)
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-7 Astrologie Index. décimale : 600-7 Astrologie Résumé : Table
Mode d'emploi
Chapitre 1 : Dies irae
Chapitre 2 : Les geysers de triton
chapitre 3 : Par ici la bonne soupe
Chapitre 4 : Les Astrolâtres
Chapitre 5 : Objets volant naïvement imaginé
Chapitre 6 : Les météodrôles
Terminus
Note de contenu : LES CHARLATANS DU CIEL
Je vais vous dire, je ne sais pas grand-chose dans ma vie, ainsi que vous avez pu le remarquer, cependant ça je le sais. Le virus m'a sauté dessus à l'adolescence. J'ai trouvé cette discipline esthétique et intéressante, avec en prime les émotions vitales des tempêtes. Quoi que j'aie fait je ne l'ai jamais quitté personnellement. J'aurai davantage veillé et étudié un rapport météo que pratiqué une autre occupation nocturne. J'ai encore devant moi une masse incroyable de travail. Et je mourrai sans doute, sans savoir. Je m'en fous : ce que je cherche apporte tellement plus de satisfactions que d'humiliations. Les hommes que j'ai rencontrés, les yeux dans les yeux je vous l'affirme, m'ont tous apporté le pain et le sel de leurs connaissances, y compris les cons... il y en a ici aussi, heureusement moins qu'ailleurs. Les météorologues méritent le respect grâce à leur probité intellectuelle. Et puis, ne le cachons pas, ils ont un petit grain sous la troposphère qui me plaît beaucoup. À titre intime, je n'y ai perdu aucune amitié. Je me donne du mal et je reste honnête malgré les aléas, par nature et fidélité au principe de vérité. Aussi mon sang bout-il quand quelques charlatans, doublés d'imposteurs, se mettent à clabauder des inepties, remplis d'emphase et d'ignorance. Chez moi, on n'a pas le droit de voler autrui.
15 janvier - 10 juin 1994
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 600-7-003 133.5 GIL Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Documents numériques
http://opac69.free.fr/couv_les_chalatans_du_ciel.htmlURL La chimie du vivant de la protéine à la photosynthèse / André BRACK
Titre : La chimie du vivant de la protéine à la photosynthèse Type de document : texte imprimé Auteurs : André BRACK, Auteur ; Paul MATHIS, Auteur ISBN/ISSN/EAN : 700-1-007 Langues : Français (fre) La chimie du vivant de la protéine à la photosynthèse [texte imprimé] / André BRACK, Auteur ; Paul MATHIS, Auteur . - [s.d.].
ISSN : 700-1-007
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 700-1-007 501 BRA Livre Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Le ciel, / Alphonse BERGET
Titre : Le ciel, Type de document : texte imprimé Auteurs : Alphonse BERGET Editeur : Paris : Larousse Année de publication : [1923] Importance : 2 p.l., 310, [2] p. Présentation : illus., plates (part col.) maps, diagrs Format : 33 cm Note générale : At head of title: Nouvelle astronomie pittoresque. Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Résumé : At head of title: Nouvelle astronomie pittoresque. Le ciel, [texte imprimé] / Alphonse BERGET . - Paris : Larousse, [1923] . - 2 p.l., 310, [2] p. : illus., plates (part col.) maps, diagrs ; 33 cm.
At head of title: Nouvelle astronomie pittoresque.
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Résumé : At head of title: Nouvelle astronomie pittoresque. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 600-4-003 600-4-003 Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Le Ciel / J-H FAVRE
Titre : Le Ciel Type de document : texte imprimé Auteurs : J-H FAVRE Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Le Ciel [texte imprimé] / J-H FAVRE . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 600-4-006 600-4-006 Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Le Ciel / Jean Henri FABRE
Titre : Le Ciel Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Henri FABRE, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-3 L'astronomie à travers les âges Mots-clés : histoire Index. décimale : 600-3 L'Astronomie à travers les âges Note de contenu : La vulgarisation de l'Astronomie : Jean-Henri Fabre
Les nébuleuses
Nous retrouvons, pour une seconde et dernière fois, notre astronome dilettante dans un chapitre de son ouvrage de vulgarisation « Le Ciel ».
L'extrait que nous avons choisi est consacré aux « nébuleuses », terme que l'on employait à l'époque pour désigner tout objet diffus de la voûte céleste, quelle qu'en soit la nature. Le terme de nébuleuse est aujourd'hui réservé aux seuls objets gazeux, comme la nébuleuse d'Orion ou la nébuleuse annulaire de la Lyre. A l'époque de Fabre, le terme s'appliquait aussi aux galaxies extérieures, et on parlait par exemple de la Grande Nébuleuse d'Andromède ou de la nébuleuse des Chiens de Chasse. Il faut dire que la nature des « nébuleuses extragalactiques » commençait seulement à être comprise par les astronomes, qui entrevoyaient l'existence d'un Univers bien autrement grandiose que celui dont ils avaient rêvé jusqu'alors. Si le philosophe Emmanuel Kant avait, dès 1755, introduit de façon purement spéculative l'idée que beaucoup des nébuleuses observées étaient en fait des univers-îles extérieurs à la Voie Lactée - concept remis à la mode par Alexander von Humboldt en 1845 -, pendant très longtemps aucune donnée observationnelle n'était venue étayer cette hypothèse.
Au début du XXe siècle, de nombreux astronomes militaient encore pour « l'hypothèse nébulaire », introduite par Laplace en 1798, qui voyait dans les tourbillons des « nébuleuses spirales » des systèmes solaires en formation. Ce n'est qu'en 1923, avec la découverte de céphéides dans la « nébuleuse » d'Andromède par Edwin Hubble, à l'oculaire du plus grand télescope du monde, le télescope de 100 pouces du Mont Wilson, et l'utilisation de la relation période-luminosité, établie depuis peu (1913) par Henrietta Leavitt pour les céphéides des Nuages de Magellan, que la vérité éclata au grand jour : la nébuleuse d'Andromède est distante de la Terre d'environ un million d'années-lumière, une distance bien trop grande pour qu'elle puisse faire partie de la Voie Lactée ! Dès 1925, de nouvelles données, incluant des mesures relatives à 10 céphéides, portaient cette distance à environ 3 millions d'années-lumière.
L'édition dont est tiré l'extrait qui suit date de 1931, et il est donc naturel que Fabre ait pris acte des derniers développements de l'astronomie. Mais voici que vient le calme du soir, qu'il serait dommage de troubler par de plus longs discours : laissons donc la parole à Jean-Henri Fabre...
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« Par une nuit sereine, qui n 'a remarqué cette écharpe lumineuse, pareille à une traînée de vapeurs phosphorescentes, qui ceint le ciel d'un bout à l'autre ? Les astronomes l'appellent la Voie lactée ; le vulgaire, le chemin de Saint-Jacques. Junon, à ce que racontait l'antiquité, allaitait un jour Hercule enfant. Quelques gouttes du lait divin s'échappèrent des lèvres du nourrisson, et, s'épandant sur la voûte céleste, formèrent la Voie lactée, la voie du lait. La science a conservé le mot des rêveries antiques ; mais elle a, pour la prétendue traînée de lait, une explication bien autrement majestueuse. Vous allez en juger.
À la vue simple, la Voie lactée a l'aspect d'un léger brouillard lumineux , disposé en bande très irrégulière. Elle fait le tour entier du ciel, qu 'elle divise en deux parties à peu près égales. Dans notre hémisphère, on la suit l'hiver à travers les constellations de Cassiopée, de Persée, du Cocher, tout près de la Chèvre ; dans le voisinage d'Orion, dont elle couvre la massue ; enfin à proximité de Sirius. En été, de Cassiopée, elle se dirige à travers le Cygne et l'Aigle. À partir du Cygne, elle se divise en deux branches, qui se rejoignent dans le ciel austral près d'Alpha du Centaure. Ainsi partagée en deux arcs sur la moitié de sa longueur et réduite à un seul dans l'autre, elle peut être comparée à une bague, dont le filet métallique se dédouble et laisse une place vide pour enchâsser une pierre précieuse. Réduit à ses seules forces, l'?il ne peut nous en apprendre davantage sur la Voie lactée. Le télescope va nous dire le reste.
Si l'instrument est dirigé vers un point quelconque du chemin de lait, aussitôt des milliers de points brillants apparaissent là où le regard n 'apercevait d'abord qu 'une vague lueur. C'est, à la lettre, une fourmilière d'étoiles, un entassement de soleils. Vue à distance, la plage des mers confond ses grains de sable en une bande uniforme ; de près, elle se résout en incalculables myriades de grains séparés ; ainsi de la Voie lactée. De loin ou à la vue simple, c 'est une traînée de clartés laiteuses ; de près, c 'est-à-dire sous l'?il du télescope, c 'est un prodigieux amoncellement d'étoiles distinctes. On dirait la plage de quelque océan céleste, qui, pour grains de sable, amoncellerait des soleils. Lorsque Herschell étudiait cette merveille du ciel, le télescope employé n 'étendait le champ de vision que sur une surface équivalente au quart du disque de la Lune ; et, dans une aire si restreinte, les étoiles pourtant se comptaient par 300, 400, 500, jusqu'à 600. Six cents étoiles pour un tout petit coin de la Voie lactée égal au quart du disque de la Lune, deux mille quatre cents pour une étendue représentée par le disque complet ! À peine en voyons-nous autant sans lunette sur la voûte entière du ciel.
Dans le champ du télescope immobile, les étoiles se renouvelaient sans cesse, entraînées par leur rotation apparente. Herschell essaya de les compter. Il estima qu 'en un quart d'heure 116 000 étoiles défilaient sous ses yeux ! Il estima que le recensement total s'élèverait au moins à 18 millions.
La Voie lactée est-elle ce que dit tout d'abord le télescope : une couronne de soleils entassés par millions ; ou bien est-elle la perspective d'une couche uniforme de soleils, au sein de laquelle nous nous trouverions nous-mêmes ? Un exemple expliquera ma pensée.
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Supposons une fine brume qui repose sur le sol tout autour de nous avec une épaisseur d'une dizaine de mètres. Du milieu de ce brouillard, indéfiniment étendu dans le sens horizontal, bientôt borné dans le sens vertical, quelles sont pour nous les apparences ? - Au-dessus de nos têtes, le regard plonge presque sans obstacle, à cause de la faible épaisseur de la brume ; il ne rencontre qu 'un petit nombre de particules de vapeur, et le bleu du ciel nous apparaît à peine terni. Dans le sens horizontal, au contraire, la vue embrasse, suivant toutes les directions, des files indéfinies de particules brumeuses, qui se superposent en perspective commune, et, par cette superposition, s'épaississent autour du spectateur en un cercle nuageux plus ou moins opaque. Ainsi donc une couche uniforme de vapeur, invisible pour nous dans le sens de sa moindre dimension, peut dessiner autour de nous, dans le sens de ses plus grandes dimensions, une zone circulaire de nuages. Le cercle vaporeux qui cercle d'ordinaire l'horizon en réalité n 'a pas d'autre origine. L'horizon n 'est pas brumeux plus que le lieu où nous sommes, mais c'est là que se superposent en perspective les vapeurs uniformément répandues sur le sol.
Cela compris, imaginons, avec Herschell, que des millions et des millions d'étoiles, à peu près également distantes entre elles, soient disposées en amas aplati, en couche ou meule de peu d'épaisseur relativement à ses incommensurables dimensions dans les autres sens. Ce sera, pour nous servir d'une image empruntée à l'exemple qui précède, un brouillard de soleils, bientôt limité dans son épaisseur, immense dans sa longueur et sa largeur. Notre soleil est une des étoiles de la couche ; nous occupons un point intérieur de la meule stellaire. Alors tout s'explique. Si le regard est dirigé à travers la mince épaisseur de la couche, il ne rencontre qu'un petit nombre d'étoiles, et le ciel nous apparaît dégarni dans cette direction. S'il plonge suivant la largeur de la couche, il rencontre, il côtoie tant d'étoiles, que celles-ci, superposées en perspective, semblent se toucher et se confondre en une lueur laiteuse continue. De la sorte, les plus grandes dimensions de la meule de soleils se trouvent dessinées autour de nous sur le firmament par une ceinture d'étoiles accumulées, comme les plus grandes dimensions d'une couche de brume sont accusées par une zone circulaire de nuages. La Voie lactée est donc la perspective, suivant ses plus grandes profondeurs, de la couche aplatie d'étoiles dont nous faisons partie ; c'est en quelque sorte un horizon embrumé de soleils.
La Grande Nébuleuse d'Andromède.
6Le Ciel [texte imprimé] / Jean Henri FABRE, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-3 L'astronomie à travers les âges Mots-clés : histoire Index. décimale : 600-3 L'Astronomie à travers les âges Note de contenu : La vulgarisation de l'Astronomie : Jean-Henri Fabre
Les nébuleuses
Nous retrouvons, pour une seconde et dernière fois, notre astronome dilettante dans un chapitre de son ouvrage de vulgarisation « Le Ciel ».
L'extrait que nous avons choisi est consacré aux « nébuleuses », terme que l'on employait à l'époque pour désigner tout objet diffus de la voûte céleste, quelle qu'en soit la nature. Le terme de nébuleuse est aujourd'hui réservé aux seuls objets gazeux, comme la nébuleuse d'Orion ou la nébuleuse annulaire de la Lyre. A l'époque de Fabre, le terme s'appliquait aussi aux galaxies extérieures, et on parlait par exemple de la Grande Nébuleuse d'Andromède ou de la nébuleuse des Chiens de Chasse. Il faut dire que la nature des « nébuleuses extragalactiques » commençait seulement à être comprise par les astronomes, qui entrevoyaient l'existence d'un Univers bien autrement grandiose que celui dont ils avaient rêvé jusqu'alors. Si le philosophe Emmanuel Kant avait, dès 1755, introduit de façon purement spéculative l'idée que beaucoup des nébuleuses observées étaient en fait des univers-îles extérieurs à la Voie Lactée - concept remis à la mode par Alexander von Humboldt en 1845 -, pendant très longtemps aucune donnée observationnelle n'était venue étayer cette hypothèse.
Au début du XXe siècle, de nombreux astronomes militaient encore pour « l'hypothèse nébulaire », introduite par Laplace en 1798, qui voyait dans les tourbillons des « nébuleuses spirales » des systèmes solaires en formation. Ce n'est qu'en 1923, avec la découverte de céphéides dans la « nébuleuse » d'Andromède par Edwin Hubble, à l'oculaire du plus grand télescope du monde, le télescope de 100 pouces du Mont Wilson, et l'utilisation de la relation période-luminosité, établie depuis peu (1913) par Henrietta Leavitt pour les céphéides des Nuages de Magellan, que la vérité éclata au grand jour : la nébuleuse d'Andromède est distante de la Terre d'environ un million d'années-lumière, une distance bien trop grande pour qu'elle puisse faire partie de la Voie Lactée ! Dès 1925, de nouvelles données, incluant des mesures relatives à 10 céphéides, portaient cette distance à environ 3 millions d'années-lumière.
L'édition dont est tiré l'extrait qui suit date de 1931, et il est donc naturel que Fabre ait pris acte des derniers développements de l'astronomie. Mais voici que vient le calme du soir, qu'il serait dommage de troubler par de plus longs discours : laissons donc la parole à Jean-Henri Fabre...
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« Par une nuit sereine, qui n 'a remarqué cette écharpe lumineuse, pareille à une traînée de vapeurs phosphorescentes, qui ceint le ciel d'un bout à l'autre ? Les astronomes l'appellent la Voie lactée ; le vulgaire, le chemin de Saint-Jacques. Junon, à ce que racontait l'antiquité, allaitait un jour Hercule enfant. Quelques gouttes du lait divin s'échappèrent des lèvres du nourrisson, et, s'épandant sur la voûte céleste, formèrent la Voie lactée, la voie du lait. La science a conservé le mot des rêveries antiques ; mais elle a, pour la prétendue traînée de lait, une explication bien autrement majestueuse. Vous allez en juger.
À la vue simple, la Voie lactée a l'aspect d'un léger brouillard lumineux , disposé en bande très irrégulière. Elle fait le tour entier du ciel, qu 'elle divise en deux parties à peu près égales. Dans notre hémisphère, on la suit l'hiver à travers les constellations de Cassiopée, de Persée, du Cocher, tout près de la Chèvre ; dans le voisinage d'Orion, dont elle couvre la massue ; enfin à proximité de Sirius. En été, de Cassiopée, elle se dirige à travers le Cygne et l'Aigle. À partir du Cygne, elle se divise en deux branches, qui se rejoignent dans le ciel austral près d'Alpha du Centaure. Ainsi partagée en deux arcs sur la moitié de sa longueur et réduite à un seul dans l'autre, elle peut être comparée à une bague, dont le filet métallique se dédouble et laisse une place vide pour enchâsser une pierre précieuse. Réduit à ses seules forces, l'?il ne peut nous en apprendre davantage sur la Voie lactée. Le télescope va nous dire le reste.
Si l'instrument est dirigé vers un point quelconque du chemin de lait, aussitôt des milliers de points brillants apparaissent là où le regard n 'apercevait d'abord qu 'une vague lueur. C'est, à la lettre, une fourmilière d'étoiles, un entassement de soleils. Vue à distance, la plage des mers confond ses grains de sable en une bande uniforme ; de près, elle se résout en incalculables myriades de grains séparés ; ainsi de la Voie lactée. De loin ou à la vue simple, c 'est une traînée de clartés laiteuses ; de près, c 'est-à-dire sous l'?il du télescope, c 'est un prodigieux amoncellement d'étoiles distinctes. On dirait la plage de quelque océan céleste, qui, pour grains de sable, amoncellerait des soleils. Lorsque Herschell étudiait cette merveille du ciel, le télescope employé n 'étendait le champ de vision que sur une surface équivalente au quart du disque de la Lune ; et, dans une aire si restreinte, les étoiles pourtant se comptaient par 300, 400, 500, jusqu'à 600. Six cents étoiles pour un tout petit coin de la Voie lactée égal au quart du disque de la Lune, deux mille quatre cents pour une étendue représentée par le disque complet ! À peine en voyons-nous autant sans lunette sur la voûte entière du ciel.
Dans le champ du télescope immobile, les étoiles se renouvelaient sans cesse, entraînées par leur rotation apparente. Herschell essaya de les compter. Il estima qu 'en un quart d'heure 116 000 étoiles défilaient sous ses yeux ! Il estima que le recensement total s'élèverait au moins à 18 millions.
La Voie lactée est-elle ce que dit tout d'abord le télescope : une couronne de soleils entassés par millions ; ou bien est-elle la perspective d'une couche uniforme de soleils, au sein de laquelle nous nous trouverions nous-mêmes ? Un exemple expliquera ma pensée.
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Supposons une fine brume qui repose sur le sol tout autour de nous avec une épaisseur d'une dizaine de mètres. Du milieu de ce brouillard, indéfiniment étendu dans le sens horizontal, bientôt borné dans le sens vertical, quelles sont pour nous les apparences ? - Au-dessus de nos têtes, le regard plonge presque sans obstacle, à cause de la faible épaisseur de la brume ; il ne rencontre qu 'un petit nombre de particules de vapeur, et le bleu du ciel nous apparaît à peine terni. Dans le sens horizontal, au contraire, la vue embrasse, suivant toutes les directions, des files indéfinies de particules brumeuses, qui se superposent en perspective commune, et, par cette superposition, s'épaississent autour du spectateur en un cercle nuageux plus ou moins opaque. Ainsi donc une couche uniforme de vapeur, invisible pour nous dans le sens de sa moindre dimension, peut dessiner autour de nous, dans le sens de ses plus grandes dimensions, une zone circulaire de nuages. Le cercle vaporeux qui cercle d'ordinaire l'horizon en réalité n 'a pas d'autre origine. L'horizon n 'est pas brumeux plus que le lieu où nous sommes, mais c'est là que se superposent en perspective les vapeurs uniformément répandues sur le sol.
Cela compris, imaginons, avec Herschell, que des millions et des millions d'étoiles, à peu près également distantes entre elles, soient disposées en amas aplati, en couche ou meule de peu d'épaisseur relativement à ses incommensurables dimensions dans les autres sens. Ce sera, pour nous servir d'une image empruntée à l'exemple qui précède, un brouillard de soleils, bientôt limité dans son épaisseur, immense dans sa longueur et sa largeur. Notre soleil est une des étoiles de la couche ; nous occupons un point intérieur de la meule stellaire. Alors tout s'explique. Si le regard est dirigé à travers la mince épaisseur de la couche, il ne rencontre qu'un petit nombre d'étoiles, et le ciel nous apparaît dégarni dans cette direction. S'il plonge suivant la largeur de la couche, il rencontre, il côtoie tant d'étoiles, que celles-ci, superposées en perspective, semblent se toucher et se confondre en une lueur laiteuse continue. De la sorte, les plus grandes dimensions de la meule de soleils se trouvent dessinées autour de nous sur le firmament par une ceinture d'étoiles accumulées, comme les plus grandes dimensions d'une couche de brume sont accusées par une zone circulaire de nuages. La Voie lactée est donc la perspective, suivant ses plus grandes profondeurs, de la couche aplatie d'étoiles dont nous faisons partie ; c'est en quelque sorte un horizon embrumé de soleils.
La Grande Nébuleuse d'Andromède.
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Titre : Le ciel et deux écrits Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude PECKER, Auteur Editeur : Paris : Hermann ISBN/ISSN/EAN : 300-3-021 Langues : Français (fre) Le ciel et deux écrits [texte imprimé] / Jean-Claude PECKER, Auteur . - Paris : Hermann, [s.d.].
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Titre : Ciel : Histoire et images de l'univers Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques-Olivier BARUCH, Auteur Editeur : Reader's Digest Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-6 Débuter en Astronomie Note de contenu : Peu de texte, mais très belle et originale iconographie Ciel : Histoire et images de l'univers [texte imprimé] / Jacques-Olivier BARUCH, Auteur . - Reader's Digest, [s.d.].
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Titre : Le Ciel des hommes Type de document : texte imprimé Auteurs : Albert DUCROQ, Auteur Editeur : FLAMMARION ISBN/ISSN/EAN : 200-1-005 Langues : Français (fre) Le Ciel des hommes [texte imprimé] / Albert DUCROQ, Auteur . - FLAMMARION, [s.d.].
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Titre : Le Ciel : un Jardin vu de la Terre Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent LAVEDER, Auteur Editeur : PARIS Cédex 06 : BELIN ISBN/ISSN/EAN : 800-2-034 Langues : Français (fre) Le Ciel : un Jardin vu de la Terre [texte imprimé] / Laurent LAVEDER, Auteur . - PARIS Cédex 06 : BELIN, [s.d.].
ISSN : 800-2-034
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 800-2-034 523 LAV Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Le ciel, le jour et la nuit / Verdet, Jean-Pierre.
Titre : Le ciel, le jour et la nuit Type de document : texte imprimé Auteurs : Verdet, Jean-Pierre. Editeur : [Paris] : Gallimard jeunesse Année de publication : 1984 Importance : [36] p. Présentation : col. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-039717-3 Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Le ciel, le jour et la nuit [texte imprimé] / Verdet, Jean-Pierre. . - [Paris] : Gallimard jeunesse, 1984 . - [36] p. : col. ill. ; 19 cm.
ISBN : 2-07-039717-3
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Titre : Le Ciel et la Mer Type de document : texte imprimé Auteurs : André LE BOEUFFLE, Auteur Editeur : Burillier ISBN/ISSN/EAN : 600-3-026 Langues : Français (fre) Le Ciel et la Mer [texte imprimé] / André LE BOEUFFLE, Auteur . - Burillier, [s.d.].
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Titre : Le Ciel et la Mer Type de document : texte imprimé Auteurs : André LE BOEUFFLE, Auteur Editeur : Burillier ISBN/ISSN/EAN : 200-2-016 Langues : Français (fre) Le Ciel et la Mer [texte imprimé] / André LE BOEUFFLE, Auteur . - Burillier, [s.d.].
ISSN : 200-2-016
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 200-2-016 522-2 LEB Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Le ciel / Ératosthène
Titre : Le ciel : mythes et histoire des constellations Type de document : texte imprimé Auteurs : Ératosthène (0284-0192 av. J.-C.), Auteur ; Pascal Charvet, Éditeur scientifique ; Arnaud Zucker (1964-....), Éditeur scientifique ; Jean-Pierre Brunet (1938-....), Éditeur scientifique ; Robert Nadal (1941-....), Éditeur scientifique ; Marie-Claude Char, Directeur de publication Editeur : Paris : Nil Année de publication : 1998 Collection : Le cabinet de curiosités, ISSN 1257-9440 Importance : 238 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-84111-105-9 Prix : 149 FRF Note générale : Trad. du grec ancien Langues : Français (fre) Langues originales : Grec classique (grc) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-3 L'astronomie à travers les âges Mots-clés : histoire Index. décimale : 600-3 L'Astronomie à travers les âges Le ciel : mythes et histoire des constellations [texte imprimé] / Ératosthène (0284-0192 av. J.-C.), Auteur ; Pascal Charvet, Éditeur scientifique ; Arnaud Zucker (1964-....), Éditeur scientifique ; Jean-Pierre Brunet (1938-....), Éditeur scientifique ; Robert Nadal (1941-....), Éditeur scientifique ; Marie-Claude Char, Directeur de publication . - Paris : Nil, 1998 . - 238 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 25 cm. - (Le cabinet de curiosités, ISSN 1257-9440) .
ISBN : 2-84111-105-9 : 149 FRF
Trad. du grec ancien
Langues : Français (fre) Langues originales : Grec classique (grc)
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Titre : Le ciel, ordre et désordre Type de document : texte imprimé Auteurs : Verdet, Jean-Pierre., Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1987 Collection : Découvertes Gallimard. Traditions Importance : 200 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-053032-9 Langues : Français (fre) Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-4 Ouvrages D'Astronomie Index. décimale : 600-4 Ouvrages d'astronomie Le ciel, ordre et désordre [texte imprimé] / Verdet, Jean-Pierre., Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1987 . - 200 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Découvertes Gallimard. Traditions) .
ISBN : 2-07-053032-9
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Titre : La comete de HALLEY Type de document : texte imprimé Auteurs : Isaac ASIMOV (1920-1992), Auteur Editeur : France Loisirs Langues : Français (fre) Catégories : 300 Le système Solaire:300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Index. décimale : 300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes La comete de HALLEY [texte imprimé] / Isaac ASIMOV (1920-1992), Auteur . - France Loisirs, [s.d.].
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Catégories : 300 Le système Solaire:300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Index. décimale : 300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Réservation
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Titre : Les comêtes Type de document : texte imprimé Auteurs : M. VERDENET ; Jean Claude MERLIN Langues : Français (fre) Catégories : 300 Le système Solaire:300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Les comêtes [texte imprimé] / M. VERDENET ; Jean Claude MERLIN . - [s.d.].
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Titre : Les comètes Type de document : texte imprimé Auteurs : André BRAHIC, Auteur ISBN/ISSN/EAN : 200-3-002 Langues : Français (fre) Les comètes [texte imprimé] / André BRAHIC, Auteur . - [s.d.].
ISSN : 200-3-002
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Titre : Les comètes et les astéroïdes Type de document : texte imprimé Auteurs : LEVASSEUR ; Philippe DE LA COTARDIERE Langues : Français (fre) Catégories : 300 Le système Solaire:300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Index. décimale : 300-4 Comètes - Météores - Astéroïdes Les comètes et les astéroïdes [texte imprimé] / LEVASSEUR ; Philippe DE LA COTARDIERE . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300-4-004 523.6 LEV Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Commencement du temps et fin de la physique ? / Stephen HAWKING
Titre : Commencement du temps et fin de la physique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Stephen HAWKING, Auteur ; Alain BOUQUET, Préfacier, etc. ; Catherine Chevalley (1951-....), Traducteur Editeur : FLAMMARION Année de publication : 1994 Collection : Champs num. 306 Importance : 119 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-08-081306-4 Prix : 21 F Note générale : Traduction de : Is the end in sight for theoretical physics? et de : The edge of space time Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : 400 Les moyens de la Physique:400-1 Ouvrages Scientifiques - Cosmologie Index. décimale : 400-1 Ouvrages Scientifiques - Cosmologie Commencement du temps et fin de la physique ? [texte imprimé] / Stephen HAWKING, Auteur ; Alain BOUQUET, Préfacier, etc. ; Catherine Chevalley (1951-....), Traducteur . - FLAMMARION, 1994 . - 119 p. : ill., couv. ill. en coul ; 18 cm. - (Champs; 306) .
ISBN : 2-08-081306-4 : 21 F
Traduction de : Is the end in sight for theoretical physics? et de : The edge of space time
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 400-1-002 523 HAW Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible 400-1-020 523 HAW Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Commencement du temps et fin de la physique / Stephen HAWKING
Titre : Commencement du temps et fin de la physique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stephen HAWKING, Auteur Editeur : FLAMMARION ISBN/ISSN/EAN : 400-1-024 Langues : Français (fre) Commencement du temps et fin de la physique [texte imprimé] / Stephen HAWKING, Auteur . - FLAMMARION, [s.d.].
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Titre : Comment étudier les astres, Type de document : texte imprimé Auteurs : RUDAUX Lucien Editeur : Paris : Masson et cie Année de publication : 1908 Importance : xxii, 216 p. Présentation : illus Format : 23 cm Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-6 Débuter en Astronomie
800 Astronomie Pratique:800-2 Observation - Photographie - MatérielsIndex. décimale : 800-2 Observation - Photographie - Matériels - Comment étudier les astres, [texte imprimé] / RUDAUX Lucien . - Paris : Masson et cie, 1908 . - xxii, 216 p. : illus ; 23 cm.
Catégories : 600 Histoire de L'astronomie - Vulgarisation:600-6 Débuter en Astronomie
800 Astronomie Pratique:800-2 Observation - Photographie - MatérielsIndex. décimale : 800-2 Observation - Photographie - Matériels - Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 800-2-001 800-2-001 Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Comment la terre devint ronde / Jean-Pierre MAURY
Titre : Comment la terre devint ronde Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre MAURY (1937-....), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1989 Collection : Découvertes Gallimard num. 52. Sciences Importance : 176 p Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-053074-4 Prix : 77 F Langues : Français (fre) Catégories : 300 Le système Solaire:300-3 Les planètes Index. décimale : 300-3 Les planètes - Comment la terre devint ronde [texte imprimé] / Jean-Pierre MAURY (1937-....), Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1989 . - 176 p ; 18 cm. - (Découvertes Gallimard; 52. Sciences) .
ISBN : 2-07-053074-4 : 77 F
Langues : Français (fre)
Catégories : 300 Le système Solaire:300-3 Les planètes Index. décimale : 300-3 Les planètes - Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 300-3-002 520 MAU Livre Astro Bibliothèque SAL Ouvrages Disponible Comment tout finira (Astrophysiquement parlant) / Katie MACK
Titre : Comment tout finira (Astrophysiquement parlant) Type de document : texte imprimé Auteurs : Katie MACK, Auteur Editeur : Quanto ISBN/ISSN/EAN : 100-1-022 Langues : Français (fre) Catégories : 450 Astrophysique Comment tout finira (Astrophysiquement parlant) [texte imprimé] / Katie MACK, Auteur . - Quanto, [s.d.].
ISSN : 100-1-022
Langues : Français (fre)
Catégories : 450 Astrophysique Réservation
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