Samedi 9 et dimanche 10 septembre 2000 Encadrants : Didier, Bernard, François
En plein cœur du massif des aiguilles rouges, l'aiguille de
la persévérance s'impose dans le ciel. C’est une course de rocher
cotée AD (assez difficile). Le samedi après-midi a été consacré à
la montée au refuge de la Flégère, au bord du lac blanc,
avec passage sur les voies de l’école d’escalade qui se
trouve sur le bord du chemin. |
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L'aiguille le persévérance au centre |
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La météo est des nôtres, soleil magnifique avec douceur de septembre. Ici, passage à proximité d'un petit lac. | |||||
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Le mont blanc à travers les arbres |
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L'aiguillette
d'Argentière
Pendant la montée, j’ai aussi découvert l’aiguillette d’argentière. Vous ne pourrez pas passer à son pied sans garder l’envie de l’escalader. Le rendez-vous avec ce magnifique rocher n’est pas encore pris, ce n’est qu’une question de temps. |
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Le soir, c’est un spectacle absolument extraordinaire que la vue du mont blanc au coucher du soleil. Le reflet des montagnes roses dans le lac blanc est d’une rare beauté. Si vous passez par là, vous avez un rendez-vous immanquable avec un moment de contemplation. | |||||
Surtout, ne restez pas à regarder le spectacle par la fenêtre du refuge, descendez au bord du lac, vous serez vraiment récompensé. |
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La course ne pose pas de problème
particulier. Pas mal de passages un peu gazeux. Le départ, (après la
montée du couloir d’approche plutôt pénible), se fait sur une vire
qui donne accès à l’arête que nous suivrons. Il semblerait que nous
n’ayons pas pris la voie à son départ. Nous serions allé trop loin,
le vrai départ ne serait pas sur l’arête mais avant. Tout
le parcours est propice pour quelques photos souvenir. |
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En fait, ce n’est pas vraiment le sommet. L’ascension se fait sur une arête où se trouvent quelques pitons rocheux. Photo obligatoire. | |||||
Arrivée au sommet vers 13 heures. Le temps du déjeuner bien mérité et il faudra penser à la descente. | |||||
Vue du premier
rappel de sortie. Une descente à travers des blocs très instables,
impossible de ne pas faire partir quelques pierres. Nous avons eu
quelques frayeurs. |
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